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Sweet Day – la journée des Vins Doux Naturels | 25-05-2016
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Les Vins Doux Naturels font partie de l’identité culturelle et gastronomique du Roussillon depuis le moyen âge et ont constitué longtemps le fer de lance de son économie viticole. Pourtant, ils sont injustement méconnus. C’est à une journée complètement VDN que nous convient - le 4 juin - les vignobles Dom Brial, qui depuis 1923 sont l’un des acteurs majeurs des vins du Roussillon.
Deux conférences seront données par des spécialistes : « Les Vins doux Naturels vers un nouvel âge d’or » par Pierre Torrès (Ingénieur agronome) et « L’Univers aromatique du grenache en élevage oxydatif » par Isabelle Cutzach-Billard (Docteur en Œnologie). S’ensuivra une dégustation de Millésimes d’exception, commentée par Jean Luc Pouteau, Meilleur Sommelier du Monde 1983, et la soirée se terminera avec un dîner donné par Franck Séguret (Le Clos des Lys à Perpignan) dans les chais du Château Les Pins. La Cave Dom Brial de Baixas porte à la fois le souvenir de Dom Brial, moine bénédictin, historien et philanthrope, et l’histoire du mouvement coopératif. Les vignobles Dom Brial sont les premiers producteurs de l’appellation Muscat de Rivesaltes et Rivesaltes. Ils élèvent dans leur chais plus de 8000 hectolitres de Rivesaltes du millésime 1959 à nos jours. www.dom-brial.com
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Un bar à vins à la Chapelle de l’Hermitage | 17-05-2016
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Nouvelle édition pour le bar éphémère de la Maison Paul Jaboulet Aîné sur l'esplanade de la Chapelle de l'Hermitage : vue imprenable sur le fleuve et les coteaux des vignobles… Places limitées, prochaines dates, sur réservation : 20 et 21 mai / 3 et 4 juin / 24 et 25 juin / 8 et 9 juillet / 22 et 23 juillet / 5 et 6 août / 19 et 20 août / 26 et 27 août. 04 75 09 26 20
www.jaboulet.com
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Thau : des bouteilles coincées sous l’eau | 16-05-2016
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En 2015, à l’occasion de l’événement Plaisirs de Thau, viticulteurs et conchyliculteurs de la région de Sète ont immergé des bouteilles de vins au pied des tables conchylicoles. Ceci, munis de toutes les autorisations nécessaires, avec pour objectif de sortir les bouteilles de l’eau et de les soumettre à dégustation l’année suivante. Cinq binômes viticulteur/conchyliculteur ont participé à cette initiative originale qui a donné lieu à un événement sympathique de relations publiques. Malheureusement, cette année, ne voilà-t-il pas que la Direction Départementale des Territoires et de la Mer de l’Hérault estime que cette opération « ne s'inscrit pas dans le domaine de l'autorisation d'exploitation de cultures marines, en ce sens il ne peut être donné une suite favorable à ce projet. L'autorisation d'exploitation de cultures marines se définit uniquement par la mise en place de tout cycle biologique, d'espèces marines, végétales ou animales comprenant le captage, l'élevage,......l'expédition ou la première mise en marché des produits ci-dessus énumérés. Le schéma des structures du département de l'Hérault a retenu comme activité de cultures marines sur le domaine public maritime, le captage, le pré-grossissement, l'élevage d'huîtres et de moules et l'élevage à plat de palourdes ». Il n’est donc même pas possible de récupérer les dites bouteilles.
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Oenotourisme particulier chez LVMH | 16-05-2016
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Le groupe LVMH ouvre ses portes pour des Journées Particulières les 20, 21 et 22 mai. Si les inscriptions en ligne sont closes, il est possible de se rendre sur place pour certaines grandes adresses. Dans le domaine des vins et spiritueux, c’est une occasion rare de visiter le Clos des Lambrays à Morey-Saint-Denis, le Château d’Yquem à Sauternes, la Maison Krug à Reims, les crayères de la maison Ruinart à Reims, l’Abbaye de Hautvillers (Dom Pérignon), les crayères et l’Hôtel du Marc (Veuve Clicquot-Ponsardin), les caves de Moët & Chandon ainsi que l’Orangerie et les Jardins de la résidence de Trianon à Epernay. Pour Hennessy à Cognac, riche programme avec l’exposition Next Stop Hennessy, la visite du Grand Bureau de dégustation, et la découverte en avant-première du nouveau circuit de visites, un parcours sensoriel dynamique à 360° pour remonter le fil des 250 ans d’histoire de la Maison. Si vous cherchez une visite originale, rendez vous au Fort Chabrol (Moët & Chandon), à Epernay. Ce fut la première École Pratique de Viticulture de Champagne : elle fut la fois école, laboratoire de recherches viticoles et station de greffage. Le procédé du greffage, qui permit de replanter 115 hectares de vignes après le phylloxéra, y fut adapté aux besoins champenois et enseigné. Fort Chabrol est classé à l’Inventaire des monuments historiques depuis 2012 (photo). Il faudra penser à s’inscrire l’année prochaine pour visiter Château Cheval-Blanc à Saint-Emilion… Programme complet : www.lvmh.fr/lesjourneesparticulieres
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Quand les pichets de vin avaient forme humaine | 12-05-2016
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On se perd en conjectures sur l’origine des "Jacquot" et "Jacqueline", ces pichets anthropomorphes destinés au service du vin. Leur fabrication populaire s’étale sur les XVIIIe et XIXe siècles, et sur toute la France. Leur diversité est remarquable. Ils sont en faïence, en terre vernissée, en grès, voire en porcelaine. Ils représentent toutes les classes sociales : paysans, bourgeois ou militaires… chevauchant parfois un tonneau, tenant souvent bouteille ou verre à la main. Cette famille d’objets céramiques n’avait jamais fait l’objet d’une exposition. Ils sont présents pour une délicieuse exposition d’environ 150 pièces jusqu’au 18 septembre au musée de la faïence de Nevers. Le catalogue collector est dû à Jean Rosen, par ailleurs vice-président des Rencontres des Cépages Modestes. Il en vente à l’accueil du musée (16 euros).
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Oenotourisme : la Cité de la Peur | 12-05-2016
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La Cité du Vin de Bordeaux ouvre le 1er juin au public. J’ai peur. Un projet immobilier colossal (83 millions d’euros d’investissement, 14 000 m², dix niveaux, 55 mètres de haut...). Une armada de technologies numériques, et notamment un parcours permanent avec animations digitales et « compagnon de voyage » très innovant. Une polyvalence d’usages : musée, restaurants, lieux de vie, boutique, salles de spectacle et d’exposition (l’exposition inaugurale des photos d’Isabelle Rozenbaum est de toute beauté). Un spectaculaire assumé : un belvédère au sommet de la Cité avec vue sur Bordeaux, une cave de 12 000 bouteilles avec 800 références de 80 pays, un ponton de 90 mètres sur la Garonne… 450 000 visiteurs attendus par an et des retombées économiques importantes… Alors, pourquoi ai-je peur ? On parle de gigantisme… Eh bien j’ai peur que la Cité du Vin ne soit trop petite au regard de la surface de notre terrain de jeu oenotouristique français, c’est-à-dire près de 800 000 hectares de vignes, dont il nous resterait à valoriser sérieusement les patrimoines oenoculturels.
On parle de technologies immersives d'avant-garde. J’ai peur que l'immersion ne soit pas plutôt de plonger dans notre quinzaine de grands et petits vignobles, nos centaines d’appellations et d’IGP, de se perdre dans les chemins de vignes, de mettre le nez sur les ceps ou dans les verres. De remplacer des face-à-faces vidéo par des rencontres en plus que 3D avec nos vignerons, le hors-sol par le terroir, et la virtualité par la vitiréalité. On parle de transmission interactive de savoir. J’ai peur de l'impuissance de ses scénographies sophistiquées à dévoiler les mille raisons d’aimer et d'embrasser la complexité poétique du monde du vin, le riche détail territoire par territoire de son histoire, de ses traditions, de ses mystères. Mais je me trompe peut-être. Et faute de rencontrer des vignerons réels, je déguste, derrière la vitre du belvédère, à la fin de ma visite de deux heures et 20 €, un verre de vin du monde (5cl), tout en lisant dans la presse : « une Cité des Vins de 4 000 m² et 36 millions d’euros est prévue à Beaune ». André Deyrieux
www.laciteduvin.com
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